ANN ARBOR, MICHIGAN – Le Fonds monétaire international d’aujourd’hui (et, à un moindre degré, la Banque mondiale) rappelle la description que faisait Talleyrand des rois de France de la branche des Bourbon�: il n’a rien appris ni rien oublié. Alors que les pays riches comme les Etats-Unis connaissent des déficits équivalents à 12% de leur PIB à cause de la crise financière mondiale, le FMI intime à des pays comme la Lettonie ou l’Ukraine, qui n’ont pas déclenché la crise mais se sont tournés vers le FMI pour la combattre, d’équilibrer leurs budgets s’ils veulent de l’aide.
ANN ARBOR, MICHIGAN – Le Fonds monétaire international d’aujourd’hui (et, à un moindre degré, la Banque mondiale) rappelle la description que faisait Talleyrand des rois de France de la branche des Bourbon�: il n’a rien appris ni rien oublié. Alors que les pays riches comme les Etats-Unis connaissent des déficits équivalents à 12% de leur PIB à cause de la crise financière mondiale, le FMI intime à des pays comme la Lettonie ou l’Ukraine, qui n’ont pas déclenché la crise mais se sont tournés vers le FMI pour la combattre, d’équilibrer leurs budgets s’ils veulent de l’aide.