La guerre du capital chez les banquiers

PARIS – Presque tout le monde s’accorde à dire aujourd'hui que les banques ont besoin de davantage de capital. Christine Lagarde a choisi d’en faire sa première campagne de Directrice du Fonds Monétaire International. Et les analyses classiques de la crise financière se concentrent sur le faible apport en capital de nombreuses banques, qui les laisse avec des réserves insuffisantes pour absorber les pertes qu'elles ont négligées lorsque les prix des actifs ont fortement chuté en 2007-2008.

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