SINGAPORE – Le monde, cette année, va sombrer dans le pessimisme le plus noir et le plus résigné. Stagnation des économies, chute de gouvernements et fermeture d’entreprises. Mais de toutes ces menaces, la pire est encore le désespoir. Pour conjurer cette menace, il faudrait parvenir à la résolution de certains des problèmes les plus pesants et en apparence les plus inextricables. La conclusion du cycle de négociations commerciales multilatérales de Doha, par exemple. Mais bien plus décisive, la résolution du conflit israélo-palestinien.
SINGAPORE – Le monde, cette année, va sombrer dans le pessimisme le plus noir et le plus résigné. Stagnation des économies, chute de gouvernements et fermeture d’entreprises. Mais de toutes ces menaces, la pire est encore le désespoir. Pour conjurer cette menace, il faudrait parvenir à la résolution de certains des problèmes les plus pesants et en apparence les plus inextricables. La conclusion du cycle de négociations commerciales multilatérales de Doha, par exemple. Mais bien plus décisive, la résolution du conflit israélo-palestinien.