WASHINGTON, DC – Le terrorisme à l'échelle de celui qui a eu lieu à Paris le mois dernier n'est pas une nouveauté en Afrique. Au Nigeria, au Cameroun, au Tchad et au Niger, le groupe extrémiste Boko Haram (connu pour son kidnapping de 276 écolières en 2014), a fait des milliers de victimes lors de bombardements et d'attentats suicides sur des civils. Au Kenya, le groupe somalien Al-Shabaab a mené deux attaques importantes, sur le centre commercial de Westgate de Nairobi en 2013 et sur l'université de Garissa en 2015, ainsi que de nombreux autres actes de terreur de plus petite envergure.
WASHINGTON, DC – Le terrorisme à l'échelle de celui qui a eu lieu à Paris le mois dernier n'est pas une nouveauté en Afrique. Au Nigeria, au Cameroun, au Tchad et au Niger, le groupe extrémiste Boko Haram (connu pour son kidnapping de 276 écolières en 2014), a fait des milliers de victimes lors de bombardements et d'attentats suicides sur des civils. Au Kenya, le groupe somalien Al-Shabaab a mené deux attaques importantes, sur le centre commercial de Westgate de Nairobi en 2013 et sur l'université de Garissa en 2015, ainsi que de nombreux autres actes de terreur de plus petite envergure.