SINGAPOUR – L’humeur générale est aujourd’hui au pessimisme. Après une année qui a vu l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis et les Britanniques voter pour quitter l’Union européenne, nombreux sont ceux qui s’attendent à de nouvelles victoires populistes – et aux funestes politiques qui les accompagnent – en 2017. Si l’on ajoute à cela une croissance économique mondiale anémiée et la montée des tensions géopolitiques, on conclut facilement que le monde s’est une fois de plus engagé sur les voies du nationalisme et du protectionnisme, les mêmes qui avaient mené au déclenchement de la Première Guerre mondiale.
SINGAPOUR – L’humeur générale est aujourd’hui au pessimisme. Après une année qui a vu l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis et les Britanniques voter pour quitter l’Union européenne, nombreux sont ceux qui s’attendent à de nouvelles victoires populistes – et aux funestes politiques qui les accompagnent – en 2017. Si l’on ajoute à cela une croissance économique mondiale anémiée et la montée des tensions géopolitiques, on conclut facilement que le monde s’est une fois de plus engagé sur les voies du nationalisme et du protectionnisme, les mêmes qui avaient mené au déclenchement de la Première Guerre mondiale.