LONDRES – En décembre 2019, l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson remportait l’élection générale sur la base d’une promesse selon laquelle il disposait d’un « plan tout prêt » pour procéder enfin au Brexit. Mais si le Royaume-Uni a effectivement quitté l’Union européenne en janvier 2020, l’accord conclu par Johnson incluait un protocole extrêmement contentieux, régissant le statut commercial spécifique de l’Irlande du Nord. Les négociations fructueuses du Premier ministre Rishi Sunak avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, autour d’un accord modifié, constituent par conséquent une évolution positive – susceptible de marquer un tournant dans les relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne.
LONDRES – En décembre 2019, l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson remportait l’élection générale sur la base d’une promesse selon laquelle il disposait d’un « plan tout prêt » pour procéder enfin au Brexit. Mais si le Royaume-Uni a effectivement quitté l’Union européenne en janvier 2020, l’accord conclu par Johnson incluait un protocole extrêmement contentieux, régissant le statut commercial spécifique de l’Irlande du Nord. Les négociations fructueuses du Premier ministre Rishi Sunak avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, autour d’un accord modifié, constituent par conséquent une évolution positive – susceptible de marquer un tournant dans les relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne.