KHARTOUM – Le 8 septembre, le premier gouvernement civil que le Soudan ait connu depuis trente ans a été investi. Conduit par le Premier ministre Abdallah Hamdok et composé de techniciens, il aura en charge la supervision de l’accord de partage du pouvoir conclu le mois dernier entre l’armée nationale et le mouvement démocratique. La question se pose désormais des capacités qu’auront les différentes factions au sein de l’armée, mais aussi l’opposition islamiste et les différents groupes rebelles, d’empêcher la transition démocratique que doivent entériner les élections prévues en 2022.
KHARTOUM – Le 8 septembre, le premier gouvernement civil que le Soudan ait connu depuis trente ans a été investi. Conduit par le Premier ministre Abdallah Hamdok et composé de techniciens, il aura en charge la supervision de l’accord de partage du pouvoir conclu le mois dernier entre l’armée nationale et le mouvement démocratique. La question se pose désormais des capacités qu’auront les différentes factions au sein de l’armée, mais aussi l’opposition islamiste et les différents groupes rebelles, d’empêcher la transition démocratique que doivent entériner les élections prévues en 2022.