Le Moyen-Orient est une poudrière : les protagonistes attendent la moindre occasion pour faire feu, pour envoyer des bombes et des missiles sur l’ennemi. A l’origine des violences répétées, les prisonniers de guerre sont l’un des points névralgiques d’Israël. Les partisans palestiniens et libanais savent bien que la détention d’un soldat ou d’un civil israélien est soit source de conflit, soit un atout précieux dans les échanges de prisonniers. Les nombreuses négociations passées vérifient ce propos, notamment l’échange de 1.150 Arabes, pour la plupart Palestiniens, contre trois Israéliens en 1985 ; de 123 Libanais contre les dépouilles de deux soldats israéliens en 1996 ; et de 433 Palestiniens et autres prisonniers contre un homme d’affaires et les dépouilles de trois soldats israéliens en 2004.
Le Moyen-Orient est une poudrière : les protagonistes attendent la moindre occasion pour faire feu, pour envoyer des bombes et des missiles sur l’ennemi. A l’origine des violences répétées, les prisonniers de guerre sont l’un des points névralgiques d’Israël. Les partisans palestiniens et libanais savent bien que la détention d’un soldat ou d’un civil israélien est soit source de conflit, soit un atout précieux dans les échanges de prisonniers. Les nombreuses négociations passées vérifient ce propos, notamment l’échange de 1.150 Arabes, pour la plupart Palestiniens, contre trois Israéliens en 1985 ; de 123 Libanais contre les dépouilles de deux soldats israéliens en 1996 ; et de 433 Palestiniens et autres prisonniers contre un homme d’affaires et les dépouilles de trois soldats israéliens en 2004.