GENÈVE – La chute du mur de Berlin, voici bientôt trente ans, représente le point d’inflexion de l’intervention des États dans l’économie mondiale, marquant, à peu près partout, une défaite des économies socialistes. De la France « dirigiste » à la Chine communiste, des pays au modèle économique extrêmement différent commencèrent d’adopter des mesures plus propices au « laissez-faire », fondées sur l’idée que moins intervenait l’État, mieux se portait l’économie.
GENÈVE – La chute du mur de Berlin, voici bientôt trente ans, représente le point d’inflexion de l’intervention des États dans l’économie mondiale, marquant, à peu près partout, une défaite des économies socialistes. De la France « dirigiste » à la Chine communiste, des pays au modèle économique extrêmement différent commencèrent d’adopter des mesures plus propices au « laissez-faire », fondées sur l’idée que moins intervenait l’État, mieux se portait l’économie.