YAOUNDÉ – Pour un grand nombre des pays en développement, l’investissement direct étranger est considéré comme quelque chose de très positif. Les sociétés étrangères peuvent ainsi amener des liquidités, des compétences, des technologies et des normes d’éthique supérieures au pays d’accueil. Mais certains d’entre eux ne voient pas d’un bon œil de tels investisseurs, car beaucoup se font accuser d’ingérence politique, de pollution de l’environnement, de violations des droits du travail et d’autres pratiques douteuses. Le débat est particulièrement animé lorsqu’est abordé le sujet des investissements chinois en Afrique – un continent qui a subi un long passé d’exploitation politique, économique et commerciale par des puissances étrangères.
YAOUNDÉ – Pour un grand nombre des pays en développement, l’investissement direct étranger est considéré comme quelque chose de très positif. Les sociétés étrangères peuvent ainsi amener des liquidités, des compétences, des technologies et des normes d’éthique supérieures au pays d’accueil. Mais certains d’entre eux ne voient pas d’un bon œil de tels investisseurs, car beaucoup se font accuser d’ingérence politique, de pollution de l’environnement, de violations des droits du travail et d’autres pratiques douteuses. Le débat est particulièrement animé lorsqu’est abordé le sujet des investissements chinois en Afrique – un continent qui a subi un long passé d’exploitation politique, économique et commerciale par des puissances étrangères.