LONDRES – Si la mouche de Socrate volait du côté de la Silicon Valley, le nombre de chevaux paresseux auxquels s’attaquer lui laisserait l’embarras du choix. Les citoyens de la célèbre technopole semblent en effet avoir négligé combien la perception du monde extérieur à leur égard a désormais changé, et cela de manière radicale. Autrefois universellement reconnu comme le berceau de l’innovation, le premier pôle technologique mondial est aujourd’hui de plus en plus considéré avec suspicion et amertume.
LONDRES – Si la mouche de Socrate volait du côté de la Silicon Valley, le nombre de chevaux paresseux auxquels s’attaquer lui laisserait l’embarras du choix. Les citoyens de la célèbre technopole semblent en effet avoir négligé combien la perception du monde extérieur à leur égard a désormais changé, et cela de manière radicale. Autrefois universellement reconnu comme le berceau de l’innovation, le premier pôle technologique mondial est aujourd’hui de plus en plus considéré avec suspicion et amertume.