TEL AVIV – La dernière guerre menée par Israël contre Gaza a eu un retentissement considérable, et destructeur, dans les capitales européennes. Que ce soit à Berlin, Paris, Rome ou ailleurs, Israël a été dénoncé comme un « État terroriste ». Des manifestants en colère ont brûlé des synagogues en France, et même en Allemagne, où des slogans comme « Les Juifs au gaz » ont été proférés. L’association ridicule entre une solidarité légitime avec la Palestine et des invectives contre les Juifs semble avoir forgé une version politiquement correcte de l’antisémitisme – qui, 70 ans après l’holocauste, fait ressurgir le spectre de la Nuit de Cristal pour les communautés juives européennes.
TEL AVIV – La dernière guerre menée par Israël contre Gaza a eu un retentissement considérable, et destructeur, dans les capitales européennes. Que ce soit à Berlin, Paris, Rome ou ailleurs, Israël a été dénoncé comme un « État terroriste ». Des manifestants en colère ont brûlé des synagogues en France, et même en Allemagne, où des slogans comme « Les Juifs au gaz » ont été proférés. L’association ridicule entre une solidarité légitime avec la Palestine et des invectives contre les Juifs semble avoir forgé une version politiquement correcte de l’antisémitisme – qui, 70 ans après l’holocauste, fait ressurgir le spectre de la Nuit de Cristal pour les communautés juives européennes.