CAMBRIDGE – Nous vivons dans un monde marqué par un écart considérable et croissant entre les compétences du travailleur « ordinaire » et les capacités qu’exigent les technologies d’avant-garde. Robots, logiciels et intelligence artificielle élèvent les profits des entreprises, ainsi que la demande en professionnels qualifiés. Ces évolutions remplacent néanmoins les employés d’usine, de bureau, ou encore des ventes, mettant ainsi à mal la classe moyenne traditionnelle. Ce « fossé des compétences » alimente inégalités, insécurité économique, et en fin de compte polarisation politique – autant de problématiques caractéristiques de notre époque.
CAMBRIDGE – Nous vivons dans un monde marqué par un écart considérable et croissant entre les compétences du travailleur « ordinaire » et les capacités qu’exigent les technologies d’avant-garde. Robots, logiciels et intelligence artificielle élèvent les profits des entreprises, ainsi que la demande en professionnels qualifiés. Ces évolutions remplacent néanmoins les employés d’usine, de bureau, ou encore des ventes, mettant ainsi à mal la classe moyenne traditionnelle. Ce « fossé des compétences » alimente inégalités, insécurité économique, et en fin de compte polarisation politique – autant de problématiques caractéristiques de notre époque.