NEW YORK – Des manifestations de grande ampleur ont éclaté au Sénégal depuis début mars, reflétant la colère généralisée de la population face à la corruption, un taux de chômage élevé et la plainte pour viols contre la figure de proue de l’opposition, Ousmane Sonko (qui nie les faits), une accusation perçue par beaucoup comme répondant à des motivations politiques. Le gouvernement du président Macky Sall a brutalement réprimé ces manifestations – les troubles les plus importants depuis une décennie dans ce pays d’Afrique de l’Ouest. Au moins huit personnes ont été tuées et des restrictions à la liberté d’expression ont été imposées.
NEW YORK – Des manifestations de grande ampleur ont éclaté au Sénégal depuis début mars, reflétant la colère généralisée de la population face à la corruption, un taux de chômage élevé et la plainte pour viols contre la figure de proue de l’opposition, Ousmane Sonko (qui nie les faits), une accusation perçue par beaucoup comme répondant à des motivations politiques. Le gouvernement du président Macky Sall a brutalement réprimé ces manifestations – les troubles les plus importants depuis une décennie dans ce pays d’Afrique de l’Ouest. Au moins huit personnes ont été tuées et des restrictions à la liberté d’expression ont été imposées.