LONDRES – Avec tous les discours protectionnistes venant de l'administration du président américain Donald Trump, il est surprenant que personne n’ait mentionné, et encore moins cherché à invoquer, un outil évident pour corriger les déséquilibres extérieurs persistants: la clause de « monnaie rare » prévue par l’Accord de Bretton Woods de 1944.
LONDRES – Avec tous les discours protectionnistes venant de l'administration du président américain Donald Trump, il est surprenant que personne n’ait mentionné, et encore moins cherché à invoquer, un outil évident pour corriger les déséquilibres extérieurs persistants: la clause de « monnaie rare » prévue par l’Accord de Bretton Woods de 1944.