DENVER – La politique étrangère du Kremlin semble de plus en plus reposer sur le présupposé que tous les pays sont aussi corruptibles que la Russie de Vladimir Poutine. Cela a été évident tout dernièrement dans les efforts prétendus de la Russie en vue de miner un accord entre la Grèce et son petit voisin du Nord, la République de Macédoine, à propos du nom de ce dernier. En supposant que les Macédoniens approuvent le référendum du 30 septembre, leur pays sera dorénavant connu sous le nom de « République de Macédoine du nord ».
DENVER – La politique étrangère du Kremlin semble de plus en plus reposer sur le présupposé que tous les pays sont aussi corruptibles que la Russie de Vladimir Poutine. Cela a été évident tout dernièrement dans les efforts prétendus de la Russie en vue de miner un accord entre la Grèce et son petit voisin du Nord, la République de Macédoine, à propos du nom de ce dernier. En supposant que les Macédoniens approuvent le référendum du 30 septembre, leur pays sera dorénavant connu sous le nom de « République de Macédoine du nord ».