NEW DELHI – Le débat sur l’utilisation des avoirs russes gelés pour financer la reconstruction de l’Ukraine est arrivé à un moment critique. Les arguments à l’appui sont convaincants. Les objections le sont moins. Mais l’initiative pourrait aussi avoir des conséquences non souhaitées.
NEW DELHI – Le débat sur l’utilisation des avoirs russes gelés pour financer la reconstruction de l’Ukraine est arrivé à un moment critique. Les arguments à l’appui sont convaincants. Les objections le sont moins. Mais l’initiative pourrait aussi avoir des conséquences non souhaitées.