GENÈVE – La dépréciation rapide du rouble, malgré la hausse prononcée – et en apparence désespérée – du taux d’intérêt décrétée à la dernière heure par la Banque centrale de Russie (BCR) le mois dernier, a ressuscité les craintes d’un retour à la débâcle que la Russie a subie en 1998. Il est vrai que l’Occident cherche à raviver ces craintes dans le cadre de sa confrontation permanente avec le président russe Vladimir Poutine. Or, même s’il est certain que l’économie de la Russie est en panne, il est peu probable qu’elle s’effondre complètement.
GENÈVE – La dépréciation rapide du rouble, malgré la hausse prononcée – et en apparence désespérée – du taux d’intérêt décrétée à la dernière heure par la Banque centrale de Russie (BCR) le mois dernier, a ressuscité les craintes d’un retour à la débâcle que la Russie a subie en 1998. Il est vrai que l’Occident cherche à raviver ces craintes dans le cadre de sa confrontation permanente avec le président russe Vladimir Poutine. Or, même s’il est certain que l’économie de la Russie est en panne, il est peu probable qu’elle s’effondre complètement.