LONDRES – Lorsque je présidais l’Autorité des services financiers britanniques (Financial Services Authority – FSA), dans les jours d’avant la Chute, qui précédaient la crise financière mondiale de 2008, j’avais régulièrement droit à la même question, posée par des financiers exaspérés par nos intrusions dans leurs lucratives activités : « Quis custodiet ipsos custodes ? » – « Qui gardera les gardiens eux-mêmes ? »
LONDRES – Lorsque je présidais l’Autorité des services financiers britanniques (Financial Services Authority – FSA), dans les jours d’avant la Chute, qui précédaient la crise financière mondiale de 2008, j’avais régulièrement droit à la même question, posée par des financiers exaspérés par nos intrusions dans leurs lucratives activités : « Quis custodiet ipsos custodes ? » – « Qui gardera les gardiens eux-mêmes ? »