NEW YORK – L’artiste britannique Damien Hirst a décrit l’attentat de 2001 contre les tours du World Trade Center à New York comme « une sorte d’œuvre d’art en soi. C’était un acte malveillant, mais conçu ainsi pour l’impact qu’il aurait, un impact visuel ». Aujourd’hui, 13 ans plus tard, les gouvernements occidentaux, s’ils peuvent décrire en termes stratégiques la menace que fait peser l’État islamique (EI) sur le Moyen-Orient, éprouvent toujours des difficultés à composer avec sa tactique d’agression visuelle dans les médias mondiaux.
NEW YORK – L’artiste britannique Damien Hirst a décrit l’attentat de 2001 contre les tours du World Trade Center à New York comme « une sorte d’œuvre d’art en soi. C’était un acte malveillant, mais conçu ainsi pour l’impact qu’il aurait, un impact visuel ». Aujourd’hui, 13 ans plus tard, les gouvernements occidentaux, s’ils peuvent décrire en termes stratégiques la menace que fait peser l’État islamique (EI) sur le Moyen-Orient, éprouvent toujours des difficultés à composer avec sa tactique d’agression visuelle dans les médias mondiaux.