STOCKHOLM – Une menace sans précédent exige une réponse sans précédent. Rarement les gouvernements, si ce n’est jamais, n’ont été contraints d’entrer en phase de gestion de crise aussi rapidement qu’ils l’ont fait ces dernières semaines. Jusqu’à présent, et à juste titre, l’effort se concentre sur les difficultés médicales, politiques et économiques les plus immédiates que soulève la pandémie de COVID-19. Peu à peu, l’attention des gouvernements devra néanmoins s’axer sur les conséquences à plus long terme de la crise, et sur la nécessité d’éviter que de telles catastrophes se reproduisent à l’avenir.
STOCKHOLM – Une menace sans précédent exige une réponse sans précédent. Rarement les gouvernements, si ce n’est jamais, n’ont été contraints d’entrer en phase de gestion de crise aussi rapidement qu’ils l’ont fait ces dernières semaines. Jusqu’à présent, et à juste titre, l’effort se concentre sur les difficultés médicales, politiques et économiques les plus immédiates que soulève la pandémie de COVID-19. Peu à peu, l’attention des gouvernements devra néanmoins s’axer sur les conséquences à plus long terme de la crise, et sur la nécessité d’éviter que de telles catastrophes se reproduisent à l’avenir.