La Géorgie recevra son cadeau de Noël et ses étrennes en retard cette année, mais l'attente en vaut la peine : l'élection présidentielle destinée à trouver un successeur à l'actuel Président Édouard Chevardnadze, prévue pour le 4 janvier 2004, offre au pays son premier espoir tangible depuis son indépendance en 1991. Une « Révolution des roses » pacifique a permis ce changement, mais l'économie, et non pas la politique, déterminera si la Géorgie peut prospérer ou doit endurer une autre décennie à perte.
La Géorgie recevra son cadeau de Noël et ses étrennes en retard cette année, mais l'attente en vaut la peine : l'élection présidentielle destinée à trouver un successeur à l'actuel Président Édouard Chevardnadze, prévue pour le 4 janvier 2004, offre au pays son premier espoir tangible depuis son indépendance en 1991. Une « Révolution des roses » pacifique a permis ce changement, mais l'économie, et non pas la politique, déterminera si la Géorgie peut prospérer ou doit endurer une autre décennie à perte.