MADRID – Avec trois candidats en concurrence pour la présidence de la Banque mondiale -& Ngozi Okonjo-Iwea, la ministre des Finances du Nigéria, José Antonio Ocampo, ministre des Finances de la Colombie et l'Américain Jim Yong Kim, président de l'université de Dartmouth& - c'est le moment de prendre du recul et d'évaluer la trajectoire de cette institution. A moins qu'il n'ait une vision claire pour l'avenir et l'envergure voulue pour résister aux pressions internes de l'institution, son prochain président va être avalé par sa machinerie et ses processus complexes.
MADRID – Avec trois candidats en concurrence pour la présidence de la Banque mondiale -& Ngozi Okonjo-Iwea, la ministre des Finances du Nigéria, José Antonio Ocampo, ministre des Finances de la Colombie et l'Américain Jim Yong Kim, président de l'université de Dartmouth& - c'est le moment de prendre du recul et d'évaluer la trajectoire de cette institution. A moins qu'il n'ait une vision claire pour l'avenir et l'envergure voulue pour résister aux pressions internes de l'institution, son prochain président va être avalé par sa machinerie et ses processus complexes.