Les Etats-Unis doivent redécouvrir comment être une « puissance intelligente ». Telle était la conclusion d’une commission bipartisane que j’ai récemment co-présidée avec Richard Armitage, l’ancien secrétaire d’État adjoint de l’administration Bush. La Commission « Smart Power », mise sur pied par le Centre d’études stratégiques et internationales (CSIS) de Washington, était composée de membres démocrates et républicains du Congrès, d’anciens ambassadeurs, de gradés en retraite et de directeurs d’organisations à but non-lucratif. Nous avons conclu que l’image et l’influence des Etats-Unis s’étaient dégradées au cours des dernières années et que le pays devait tourner la page et cesser d’exporter la peur pour inspirer à nouveau espoir et optimisme.
Les Etats-Unis doivent redécouvrir comment être une « puissance intelligente ». Telle était la conclusion d’une commission bipartisane que j’ai récemment co-présidée avec Richard Armitage, l’ancien secrétaire d’État adjoint de l’administration Bush. La Commission « Smart Power », mise sur pied par le Centre d’études stratégiques et internationales (CSIS) de Washington, était composée de membres démocrates et républicains du Congrès, d’anciens ambassadeurs, de gradés en retraite et de directeurs d’organisations à but non-lucratif. Nous avons conclu que l’image et l’influence des Etats-Unis s’étaient dégradées au cours des dernières années et que le pays devait tourner la page et cesser d’exporter la peur pour inspirer à nouveau espoir et optimisme.