BERLIN – Après sa victoire sur la Géorgie, la Russie poursuivra avec encore plus de ténacité sa stratégie consistant à revoir l'ordre post soviétique dans ce qu'elle appelle son « étranger proche ». L'Europe ne devrait pas se faire d'illusions à ce sujet ; elle doit commencer à s’y préparer. Tandis que l’Union européenne se demande quoi faire, le pragmatisme, et non la réaction excessive et hystérique, est de rigueur.
BERLIN – Après sa victoire sur la Géorgie, la Russie poursuivra avec encore plus de ténacité sa stratégie consistant à revoir l'ordre post soviétique dans ce qu'elle appelle son « étranger proche ». L'Europe ne devrait pas se faire d'illusions à ce sujet ; elle doit commencer à s’y préparer. Tandis que l’Union européenne se demande quoi faire, le pragmatisme, et non la réaction excessive et hystérique, est de rigueur.