LONDRES – Les résultats et le mandat de la Banque d'Angleterre (BdE) sont à l'heure actuelle des questions de premier plan dans la course à la succession de Boris Johnson au poste de chef du Parti conservateur et par conséquent au poste de Premier ministre du Royaume-Uni. Mais compte tenu du fait que de récentes études sur d'autres grandes banques centrales n'offrent que peu d'indications dans un contexte d'inflation galopante, il serait peut-être logique de relancer une vieille idée de réforme de l'ancrage dominant de la politique monétaire.
LONDRES – Les résultats et le mandat de la Banque d'Angleterre (BdE) sont à l'heure actuelle des questions de premier plan dans la course à la succession de Boris Johnson au poste de chef du Parti conservateur et par conséquent au poste de Premier ministre du Royaume-Uni. Mais compte tenu du fait que de récentes études sur d'autres grandes banques centrales n'offrent que peu d'indications dans un contexte d'inflation galopante, il serait peut-être logique de relancer une vieille idée de réforme de l'ancrage dominant de la politique monétaire.