PRINCETON – À l’heure où s’accentue la crise au Venezuela, les conservateurs d’Amérique et d’ailleurs pointent joyeusement du doigt le chavisme pour insister sur les dangers du « socialisme ». Le parti espagnol de gauche Podemos étant par ailleurs en voie de désintégration, de même que Syriza en Grèce perd constamment en popularité depuis 2015, les observateurs même les plus impartiaux pourraient bien en conclure à une disparition prochaine de la « vague rose » du populisme de gauche.
PRINCETON – À l’heure où s’accentue la crise au Venezuela, les conservateurs d’Amérique et d’ailleurs pointent joyeusement du doigt le chavisme pour insister sur les dangers du « socialisme ». Le parti espagnol de gauche Podemos étant par ailleurs en voie de désintégration, de même que Syriza en Grèce perd constamment en popularité depuis 2015, les observateurs même les plus impartiaux pourraient bien en conclure à une disparition prochaine de la « vague rose » du populisme de gauche.