BERKELEY – En mars dernier, lorsque la COVID-19 a infecté l’économie mondiale, un grand nombre d’observateurs craignaient que les marchés émergents des pays en voie de développement subissent le plus les conséquences financières et autres. Le sort économique de ces pays reposait sur les exportations de denrées, les envois de fonds des émigrés et le tourisme, trois facteurs que la pandémie a fait dégringoler. Il y avait tout lieu de croire qu’un tsunami de crises financières et de défauts de paiement déferlerait sur eux.
BERKELEY – En mars dernier, lorsque la COVID-19 a infecté l’économie mondiale, un grand nombre d’observateurs craignaient que les marchés émergents des pays en voie de développement subissent le plus les conséquences financières et autres. Le sort économique de ces pays reposait sur les exportations de denrées, les envois de fonds des émigrés et le tourisme, trois facteurs que la pandémie a fait dégringoler. Il y avait tout lieu de croire qu’un tsunami de crises financières et de défauts de paiement déferlerait sur eux.