MOSCOU – « Nous avons tous besoin de reconstruction », disait souventMikhaïl Gorbatchev, en référence à la perestroïka. Le dernier dirigeant de l’URSS vivait selon cette philosophie. Après être devenu secrétaire général du Parti communiste en 1985, puis avoir mis en œuvre son programme de restructuration et d’ouverture (glasnost), il modifia même l’intitulé de son poste, préférant être appelé « président ».
MOSCOU – « Nous avons tous besoin de reconstruction », disait souventMikhaïl Gorbatchev, en référence à la perestroïka. Le dernier dirigeant de l’URSS vivait selon cette philosophie. Après être devenu secrétaire général du Parti communiste en 1985, puis avoir mis en œuvre son programme de restructuration et d’ouverture (glasnost), il modifia même l’intitulé de son poste, préférant être appelé « président ».