MADRID – Deux jours après le décès du leader nord coréen Kim Jong-il à bord d’un train dans son pays, les autorités sud coréennes n’en savait toujours rien. Les responsables américains semblaient perdus, le Département d’Etat admettant même du bout des lèvres simplement avoir lu la nouvelle dans les journaux.
MADRID – Deux jours après le décès du leader nord coréen Kim Jong-il à bord d’un train dans son pays, les autorités sud coréennes n’en savait toujours rien. Les responsables américains semblaient perdus, le Département d’Etat admettant même du bout des lèvres simplement avoir lu la nouvelle dans les journaux.