ROME – La nomination de la ministre italienne des Affaires étrangères Federica Mogherini au poste de Haute Représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité a mis en lumière deux illusions. La première réside en ce que les États membres de l’UE éprouveraient un réel intérêt à l’égard d’une politique étrangère commune, et la seconde dans l’idée que l’Italie disposerait d’un gouvernement solide et crédible.
ROME – La nomination de la ministre italienne des Affaires étrangères Federica Mogherini au poste de Haute Représentante de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité a mis en lumière deux illusions. La première réside en ce que les États membres de l’UE éprouveraient un réel intérêt à l’égard d’une politique étrangère commune, et la seconde dans l’idée que l’Italie disposerait d’un gouvernement solide et crédible.