LAHORE – Ce mois de juillet fut l’un des plus terribles dans l’histoire du Pakistan. L’establishment du pays a été accusé de duplicité dans l’effort de guerre américain en Afghanistan, apportant son soutien aux deux côtés – les Etats-Unis et les talibans – à la fois. La manière avec laquelle le Premier ministre britannique David Cameron a fait état de tels soupçons a soulevé une colère considérable dans l’opinion publique pakistanaise, dont une part était directement dirigée à l’intention du président Asif Ali Zardari, qui a tout de même maintenu sa visite officielle programmée à Londres, malgré la sévérité des mots de Cameron.
LAHORE – Ce mois de juillet fut l’un des plus terribles dans l’histoire du Pakistan. L’establishment du pays a été accusé de duplicité dans l’effort de guerre américain en Afghanistan, apportant son soutien aux deux côtés – les Etats-Unis et les talibans – à la fois. La manière avec laquelle le Premier ministre britannique David Cameron a fait état de tels soupçons a soulevé une colère considérable dans l’opinion publique pakistanaise, dont une part était directement dirigée à l’intention du président Asif Ali Zardari, qui a tout de même maintenu sa visite officielle programmée à Londres, malgré la sévérité des mots de Cameron.