CAMBRIDGE – A l’occasion d’un discours prononcé le mois dernier à l’université de Lisbonne, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a appelé à une action mondiale pour minimiser les risques que pourraient encourir les civils lors d’une cyberguerre, déplorant « qu’il n’existe pas de cadre juridique international pour ce type de guerre et que la manière dont pourrait s’appliquer la Convention de Genève ou le droit humanitaire international dans un tel cas n’est pas claire ».
CAMBRIDGE – A l’occasion d’un discours prononcé le mois dernier à l’université de Lisbonne, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a appelé à une action mondiale pour minimiser les risques que pourraient encourir les civils lors d’une cyberguerre, déplorant « qu’il n’existe pas de cadre juridique international pour ce type de guerre et que la manière dont pourrait s’appliquer la Convention de Genève ou le droit humanitaire international dans un tel cas n’est pas claire ».