WASHINGTON, DC – Le pape François a dit de la corruption qu’elle est « la gangrène d’un peuple ». Le secrétaire d’État américain, John Kerry, y voit un des éléments qui entretiennent l’extrémisme (« radicalizer »), car elle « détruit la confiance en une autorité légitime ». Et le Premier ministre britannique David Cameron la considère comme « l’un des plus grands ennemis, aujourd’hui, du progrès ».
WASHINGTON, DC – Le pape François a dit de la corruption qu’elle est « la gangrène d’un peuple ». Le secrétaire d’État américain, John Kerry, y voit un des éléments qui entretiennent l’extrémisme (« radicalizer »), car elle « détruit la confiance en une autorité légitime ». Et le Premier ministre britannique David Cameron la considère comme « l’un des plus grands ennemis, aujourd’hui, du progrès ».