SAN FRANCISCO – De l’Australie et du Brésil au Nigéria et aux États-Unis, de nombreux pays mettent en place des procédures et des réglementations afin d’encadrer le partage des données financières. L’objectif est d’inciter à la création d’écosystèmes de données numériques qui facilitent et accélèrent les interactions entre les institutions financières et leurs clients, que ceux-ci soient des entreprises ou des particuliers. Mais l’usage des données financières ouvertes pourrait aussi se traduire, d’une façon générale, par un coup d’accélérateur au PIB mondial.
SAN FRANCISCO – De l’Australie et du Brésil au Nigéria et aux États-Unis, de nombreux pays mettent en place des procédures et des réglementations afin d’encadrer le partage des données financières. L’objectif est d’inciter à la création d’écosystèmes de données numériques qui facilitent et accélèrent les interactions entre les institutions financières et leurs clients, que ceux-ci soient des entreprises ou des particuliers. Mais l’usage des données financières ouvertes pourrait aussi se traduire, d’une façon générale, par un coup d’accélérateur au PIB mondial.