LONDRES – Au mois de décembre, les dirigeants du monde vont se réunir à Paris à la Conférence des Nations Unies sur le Changement climatique, où ils tenteront (une fois encore), de négocier un accord mondial visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. En dépit du sentiment inévitable de déjà vu que partageront les négociateurs dans leurs efforts pour parvenir à un compromis, ils ne doivent pas baisser les bras. Quelles que soient les considérations politiques ou économiques, une chose est sûre : si les températures mondiales augmentent de plus de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels, les conséquences pour la planète seront catastrophiques.
LONDRES – Au mois de décembre, les dirigeants du monde vont se réunir à Paris à la Conférence des Nations Unies sur le Changement climatique, où ils tenteront (une fois encore), de négocier un accord mondial visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. En dépit du sentiment inévitable de déjà vu que partageront les négociateurs dans leurs efforts pour parvenir à un compromis, ils ne doivent pas baisser les bras. Quelles que soient les considérations politiques ou économiques, une chose est sûre : si les températures mondiales augmentent de plus de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels, les conséquences pour la planète seront catastrophiques.