CANBERRA – Le mois dernier, les aiguilles de l’Horloge de la fin du monde ont été avancées d’une minute, pour indiquer minuit moins cinq, par les directeurs du Bulletin des scientifiques atomistes, la parution internationale respectée qui met en garde depuis des décennies sur le risque d’une catastrophe nucléaire, qu’elle soit causée par un accident ou à dessein, par un État ou une organisation terroriste, par une arme à fission ou une bombe radiologique.
CANBERRA – Le mois dernier, les aiguilles de l’Horloge de la fin du monde ont été avancées d’une minute, pour indiquer minuit moins cinq, par les directeurs du Bulletin des scientifiques atomistes, la parution internationale respectée qui met en garde depuis des décennies sur le risque d’une catastrophe nucléaire, qu’elle soit causée par un accident ou à dessein, par un État ou une organisation terroriste, par une arme à fission ou une bombe radiologique.