LAGOS – En 2018, les start-up africaines se réjouissaient: elles avaient réuni presque 1,2 milliard de dollars de fonds propres, soit une hausse de 108% par rapport à l’année précédente. Et l’année dernière, les sociétés nigérianes de technologie financière (« fintech ») parvenaient à un record plus impressionnant encore : 360 millions de dollars levés auprès d’investisseurs internationaux pour le seul mois de novembre. Il faudra portant du travail pour tirer profit de cette croissance rapide du secteur technologique nigérian. La pandémie de Covid-19 devrait être un aiguillon pour nous pousser à l’action.
LAGOS – En 2018, les start-up africaines se réjouissaient: elles avaient réuni presque 1,2 milliard de dollars de fonds propres, soit une hausse de 108% par rapport à l’année précédente. Et l’année dernière, les sociétés nigérianes de technologie financière (« fintech ») parvenaient à un record plus impressionnant encore : 360 millions de dollars levés auprès d’investisseurs internationaux pour le seul mois de novembre. Il faudra portant du travail pour tirer profit de cette croissance rapide du secteur technologique nigérian. La pandémie de Covid-19 devrait être un aiguillon pour nous pousser à l’action.