CAMBRIDGE – Un peu partout dans le monde, la politique industrielle vise un large éventail d'objectifs (la résilience des chaînes d'approvisionnement, le développement des technologies vertes, un avantage géopolitique, des emplois de qualité). Or le débat quant à son efficacité atteint son paroxysme. On croit généralement que ce sont les sceptiques qui ont raison. "Il existe un argument fort contre la politique industrielle" entonnait récemment un observateur : "se lancer dans une politique industrielle constitue à un gaspillage d'argent et à une distorsion de l'économie".
CAMBRIDGE – Un peu partout dans le monde, la politique industrielle vise un large éventail d'objectifs (la résilience des chaînes d'approvisionnement, le développement des technologies vertes, un avantage géopolitique, des emplois de qualité). Or le débat quant à son efficacité atteint son paroxysme. On croit généralement que ce sont les sceptiques qui ont raison. "Il existe un argument fort contre la politique industrielle" entonnait récemment un observateur : "se lancer dans une politique industrielle constitue à un gaspillage d'argent et à une distorsion de l'économie".