TEL AVIV – L’accord nucléaire conclu entre l’Iran et les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies (Chine, France, Russie, États-Unis et Royaume-Uni), ainsi que l’Allemagne, ne constitue en rien une capitulation de l’Iran, comme l’aurait souhaité le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Par ailleurs, cet accord se révèle aussi imparfait que peut l’être tout accord conclu entre des parties en opposition. Il établit toutefois un cadre solide, destiné à empêcher l’Iran de concevoir des armes nucléaires pour les 10 à 15 prochaines années – ce qui constitue une évolution très positive.
TEL AVIV – L’accord nucléaire conclu entre l’Iran et les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité des Nations Unies (Chine, France, Russie, États-Unis et Royaume-Uni), ainsi que l’Allemagne, ne constitue en rien une capitulation de l’Iran, comme l’aurait souhaité le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Par ailleurs, cet accord se révèle aussi imparfait que peut l’être tout accord conclu entre des parties en opposition. Il établit toutefois un cadre solide, destiné à empêcher l’Iran de concevoir des armes nucléaires pour les 10 à 15 prochaines années – ce qui constitue une évolution très positive.