À première vue, la conférence des donateurs occidentaux et des nations arabes riches en pétrole cette semaine à Paris poursuit essentiellement les travaux des deux précédentes conférences multilatérales de 2001 et 2002, destinées à aider le Liban à reconstruire ses infrastructures, après des années de guerre civile, de son occupation par Israël et à s’attaquer au problème de l’énorme dette publique du pays. Cette fois-ci les donateurs s’attacheront également à compenser les pertes directes et indirectes de 3,5 milliards de dollars dues à la guerre de l’été 2006 entre Israël et le Hezbollah, et la nouvelle augmentation de la dette publique, qui atteint le montant vertigineux de 40,6 milliards de dollars, équivalant à 180 pour cent du PIB libanais.
À première vue, la conférence des donateurs occidentaux et des nations arabes riches en pétrole cette semaine à Paris poursuit essentiellement les travaux des deux précédentes conférences multilatérales de 2001 et 2002, destinées à aider le Liban à reconstruire ses infrastructures, après des années de guerre civile, de son occupation par Israël et à s’attaquer au problème de l’énorme dette publique du pays. Cette fois-ci les donateurs s’attacheront également à compenser les pertes directes et indirectes de 3,5 milliards de dollars dues à la guerre de l’été 2006 entre Israël et le Hezbollah, et la nouvelle augmentation de la dette publique, qui atteint le montant vertigineux de 40,6 milliards de dollars, équivalant à 180 pour cent du PIB libanais.