NAIROBI – Jusqu’à l’explosion de la crise financière mondiale il y a quatre ans, les obligations souveraines ont toujours été considérées comme des placements fiables et quasiment dénués de risque. Depuis, elles semblent bien moins sûres. De nombreux observateurs au sein et en dehors du secteur financier commencent à remettre en question les modèles sur lesquels se basent les agences de notation, les sociétés d’investissement et bien d’autres pour tarifer les risques attachés à ces titres.
NAIROBI – Jusqu’à l’explosion de la crise financière mondiale il y a quatre ans, les obligations souveraines ont toujours été considérées comme des placements fiables et quasiment dénués de risque. Depuis, elles semblent bien moins sûres. De nombreux observateurs au sein et en dehors du secteur financier commencent à remettre en question les modèles sur lesquels se basent les agences de notation, les sociétés d’investissement et bien d’autres pour tarifer les risques attachés à ces titres.