ISTANBUL – La Turquie a rejoint l’OTAN au milieu des années de guerre froide pour obtenir la protection des États-Unis en cas d’une attaque soviétique. A l’époque, la Turquie était vraiment en première ligne ; aujourd’hui, cependant, ses dirigeants poursuivent avec assurance une politique étrangère et de sécurité indépendante, et leur confiance grandissante met donc à l’épreuve la cohésion de l’Alliance.
ISTANBUL – La Turquie a rejoint l’OTAN au milieu des années de guerre froide pour obtenir la protection des États-Unis en cas d’une attaque soviétique. A l’époque, la Turquie était vraiment en première ligne ; aujourd’hui, cependant, ses dirigeants poursuivent avec assurance une politique étrangère et de sécurité indépendante, et leur confiance grandissante met donc à l’épreuve la cohésion de l’Alliance.