MADRID – L’Union européenne souffre d’un accès de nostalgie. Non seulement le regret du « bon vieux temps » – avant que l’UE n’empiète, soi-disant, sur les souverainetés nationales – nourrit la montée des partis politiques nationalistes, mais les dirigeants eux-mêmes s’obstinent à administrer des remèdes d’hier pour résoudre des maux d’aujourd’hui.
MADRID – L’Union européenne souffre d’un accès de nostalgie. Non seulement le regret du « bon vieux temps » – avant que l’UE n’empiète, soi-disant, sur les souverainetés nationales – nourrit la montée des partis politiques nationalistes, mais les dirigeants eux-mêmes s’obstinent à administrer des remèdes d’hier pour résoudre des maux d’aujourd’hui.