NEW YORK – Le féminisme occidental est coupable d’égarements théoriques mémorables, dont l’un des pires est le postulat trop courant qui veut que si les femmes détenaient les rênes du pouvoir dans la société, elles seraient « plus douces et plus gentilles » (des termes dictés à George H. W. Bush en 1988 pour amadouer l’électorat féminin). En fait, la seconde vague du féminisme répète à l’envi que la guerre, le racisme, l’amour de la hiérarchie, et les régimes répressifs en général sont le fait du patriarcat et que l’arrivée des femmes au pouvoir créerait naturellement un monde plus inclusif et coopératif.
NEW YORK – Le féminisme occidental est coupable d’égarements théoriques mémorables, dont l’un des pires est le postulat trop courant qui veut que si les femmes détenaient les rênes du pouvoir dans la société, elles seraient « plus douces et plus gentilles » (des termes dictés à George H. W. Bush en 1988 pour amadouer l’électorat féminin). En fait, la seconde vague du féminisme répète à l’envi que la guerre, le racisme, l’amour de la hiérarchie, et les régimes répressifs en général sont le fait du patriarcat et que l’arrivée des femmes au pouvoir créerait naturellement un monde plus inclusif et coopératif.