CHARDJAH – Le monde musulman apporta par le passé d’extraordinaires contributions à la science et à l’éducation. L’« âge d’or » de l’Islam, au cours duquel le savoir et l’enseignement s’épanouirent dans tout le monde musulman, dura plusieurs siècles, et fut notamment marqué par la fondation des premières universités. Aujourd’hui pourtant, les pays à majorité musulmane sont en matière de recherche et d’éducation à la traîne du reste du monde. Si la région veut prendre sa place dans le développement mondial et fournir à une population en plein essor des emplois modernes et une vie meilleure, cela doit changer.
CHARDJAH – Le monde musulman apporta par le passé d’extraordinaires contributions à la science et à l’éducation. L’« âge d’or » de l’Islam, au cours duquel le savoir et l’enseignement s’épanouirent dans tout le monde musulman, dura plusieurs siècles, et fut notamment marqué par la fondation des premières universités. Aujourd’hui pourtant, les pays à majorité musulmane sont en matière de recherche et d’éducation à la traîne du reste du monde. Si la région veut prendre sa place dans le développement mondial et fournir à une population en plein essor des emplois modernes et une vie meilleure, cela doit changer.