NEW YORK – Un examen des finances publiques de l’Égypte révèle un fait inquiétant : les intérêts que paie le pays sur sa dette extérieure sont plus élevés que les budgets de l’éducation, de la santé et du logement réunis. En d’autres termes, le service de la dette représente 22 pour cent des dépenses totales de l’État égyptien.
NEW YORK – Un examen des finances publiques de l’Égypte révèle un fait inquiétant : les intérêts que paie le pays sur sa dette extérieure sont plus élevés que les budgets de l’éducation, de la santé et du logement réunis. En d’autres termes, le service de la dette représente 22 pour cent des dépenses totales de l’État égyptien.