WASHINGTON, DC – Pour tous ceux qui œuvrent en première ligne du combat contre le paludisme, l'annonce d'un possible vaccin contre le parasite responsable de cette maladie constitue un événement majeur. En 2013, le paludisme a entraîné la mort de 584 000 personnes, dont environ 90 % d'habitants de l'Afrique sub-saharienne, pour 78 % de victimes enfants de moins de cinq ans. Au sein des 97 pays confrontés à un paludisme endémique, la maladie vient anéantir la productivité économique de ceux qui peuvent le moins se le permettre, à savoir les populations les plus pauvres, qui ne bénéficient que d'un accès réduit aux traitements et aux soins.
WASHINGTON, DC – Pour tous ceux qui œuvrent en première ligne du combat contre le paludisme, l'annonce d'un possible vaccin contre le parasite responsable de cette maladie constitue un événement majeur. En 2013, le paludisme a entraîné la mort de 584 000 personnes, dont environ 90 % d'habitants de l'Afrique sub-saharienne, pour 78 % de victimes enfants de moins de cinq ans. Au sein des 97 pays confrontés à un paludisme endémique, la maladie vient anéantir la productivité économique de ceux qui peuvent le moins se le permettre, à savoir les populations les plus pauvres, qui ne bénéficient que d'un accès réduit aux traitements et aux soins.