AMMAN – Depuis des dizaines d’années, le monde arabe souffre de sa désunion. Le manque de cohésion des pays de la région, pourtant unis par la géographie, la langue et la culture, permet de longue date aux puissances étrangères de piller ses ressources. L’héritage de la stratégie coloniale du « diviser pour régner » demeure prégnant et le repli sur soi empêche les Arabes d’utiliser tout le potentiel que leur confèrent leur richesse pétrolière et leurs populations relativement éduquées. Mais la Coupe du monde de la FIFA nous montre une autre voie.
AMMAN – Depuis des dizaines d’années, le monde arabe souffre de sa désunion. Le manque de cohésion des pays de la région, pourtant unis par la géographie, la langue et la culture, permet de longue date aux puissances étrangères de piller ses ressources. L’héritage de la stratégie coloniale du « diviser pour régner » demeure prégnant et le repli sur soi empêche les Arabes d’utiliser tout le potentiel que leur confèrent leur richesse pétrolière et leurs populations relativement éduquées. Mais la Coupe du monde de la FIFA nous montre une autre voie.