CAMBRIDGE – On associe depuis longtemps les booms et les bulles qui éclatent sur le marché des matières premières et les variations brutales des flux de capitaux et des taux d'intérêt internationaux aux crises économiques - tout particulièrement, mais pas exclusivement, en ce qui concerne les pays émergents. Le "type" de crise varie en fonction du moment et du lieu. Il arrive qu'un arrêt brusque de l'arrivée d'un flux de capitaux suscite l'effondrement d'une devise, une crise bancaire et souvent un défaut souverain. Une double, voire une triple crise, n'est pas inhabituelle.
CAMBRIDGE – On associe depuis longtemps les booms et les bulles qui éclatent sur le marché des matières premières et les variations brutales des flux de capitaux et des taux d'intérêt internationaux aux crises économiques - tout particulièrement, mais pas exclusivement, en ce qui concerne les pays émergents. Le "type" de crise varie en fonction du moment et du lieu. Il arrive qu'un arrêt brusque de l'arrivée d'un flux de capitaux suscite l'effondrement d'une devise, une crise bancaire et souvent un défaut souverain. Une double, voire une triple crise, n'est pas inhabituelle.